"J'étais plutôt une danseuse du flux, de la kinesthésie, des grands mouvements d'abstractions qui peignent l'espace. Il y avait un tel plaisir kinesthésique à investir le rôle de player, de danseuse, que de venir observer, c'était un angle mort finalement. En découvrant l'approche de l'improvisation à travers les filtres que proposent Lisa Nelson, et notamment cet axe sur l'activité du watcher, ça a été pour moi une grande occasion de faire face, un peu, à une culture de la danse qui n'était pas la mienne."