Pat Bergantin |

Donc, je suis sur Ilhabela, qui est une île du Brésil où je vis actuellement et je suis seule dans une cascade. Principalement à cause de l'isolement dans la pandémie, je ne suis pas avec d'autres personnes, je ne suis avec personne dans cet espace. Il fait chaud. Le soleil est levé. Je me mets à l'eau, je suis pratiquement sommée par l'eau d'entrer et je me sens très bien accueillie, comme quand tu vas chez quelqu'un, que quelqu'un t'invite à dîner ou que tu vas retrouver un vieil ami. C'est ainsi que j'entre dans cette cascade et que j'y reste un moment lors de ce premier moment dans l'eau. L'eau est très calme et normalement quand je vais visiter cette cascade qui est une cascade qui s'appelle Paquetá, je reste là dans ce premier lieu qui est un très grand plateau. Ce n'est pas très profond. Il y a une chute où l'on peut recevoir de l'eau d'en haut et nettoyer toutes les énergies. Je ressens en premier lieu ce qui ne vient pas de la chute, mais d'un premier accueil et je suis entourée d'affection, comme si c'était le cas, c'est un câlin, n'est-ce pas ? Je m'habitue à ressentir la cascade comme guérisseuse, guérisseuse et bien... ce qui se passe c'est que je me permets comme je suis seule là-bas, je me laisse emporter par cette atmosphère et au lieu de continuer là à cet endroit, je vais dans un autre endroit où je n'étais jamais allée auparavant.

Il y a beaucoup de pierres qui mènent à une destination inconnue où je n'étais jamais allée et je ne savais même pas qu'il y avait une profondeur là-bas et c'est très intéressant car en marchant sur ces pierres, je me souviens d'une expression brésilienne en portugais qui dit : « marcher c'est connaître le chemin des pierres » et on le dit comme ça d'une manière assez triviale et là je peux vraiment comprendre ce que c'est que de connaître le chemin des pierres car elles m'ont effectivement emmenée.

Je reste là longtemps en silence à écouter le son du silence, vraiment, comme un silence très primordial et je chante, quelque chose de totalement imprévisible comme ça pour moi parce que je ne chante pas, mais c'est un son qui vient pratiquement des pierres ou qui vient de ce hors, de ce silence.

Donc, il y a beaucoup de pierres qui mènent à une destination inconnue où je n'étais jamais allée et je ne savais même pas qu'il y avait une profondeur là-bas et c'est très intéressant car en marchant sur ces pierres, je me souviens d'une expression brésilienne, en portugais, qui dit : « marcher c'est connaître le chemin des pierres » et on le dit comme ça d'une manière assez triviale et là je peux vraiment comprendre ce que c'est que de connaître le chemin des pierres car elles m'ont effectivement emmenée.

C'est une improvisation dans cet inconnu parce que je ne sais pas où j’y vais et ils n'arrêtent pas de m'appeler comme s'ils pouvaient dire : « touche ici..., marche là et traverse cet endroit, même si tu ne sauras pas où tu vas » et je perds complètement la notion du temps. Honnêtement, je ne sais pas combien de temps ça a pris, peut-être que ça aurait pu prendre quinze minutes ou deux heures, mais c'est un sentiment d'être emportée par les pierres et aussi par ce destin, n'est-ce pas ? Comme quelque chose qui m'attire et à un certain moment toute cette eau avant la chute alors que j'étais sur un premier plateau, au début, ça se tait parce que j'arrive dans un autre milieu qui est plus à l’intérieur de la forêt, donc je laisse un premier lieu d'eau douce et j'arrive à cet endroit qui est plus boisé, très vert... et beaucoup d'odeurs et quand j'entre dans cette eau, qui est une autre eau, disons, c'est quelque chose comme un bain aux herbes.

Parce qu'au final, avec tout le vert, avec toutes ces plantes, cette eau a une autre qualité et elle se tait de telle sorte que j'arrive à un autre rocher bien plus gros que les autres sur lesquels je marchais et j'y sens le silence. Je reste là longtemps en silence à écouter le son du silence, vraiment, comme un silence très primordial et je chante, quelque chose de totalement imprévisible comme ça pour moi parce que je ne chante pas, mais c'est un son qui vient pratiquement de pierres ou qui vient de ce dehors, de ce silence. Au final, c'est un son très nouveau pour moi, peut-être pour ma qualité vocale et là je commence à chanter et c'est très fort et il y a une danse qui arrive et puis ce chant devient mouvement, je ne sais pas, comme une chorégraphie basée sur la voix et il y a une connexion très belle et silencieuse et aussi comme si je pouvais percevoir à quel point je suis accompagnée, même si je suis extrêmement, radicalement seule du point de vue humain.

J'arrive dans un autre milieu qui est plus de la forêt donc je laisse un premier lieu d'eau douce et j'arrive à cet endroit qui est plus boisé, très vert... et plein d'odeurs et quand j'entre dans cette eau qui est une autre eau, disons, c'est quelque chose qui ressemble à un bain aux herbes. Parce qu'au final, avec tout le vert, avec toutes ces plantes, cette eau a une autre qualité et elle se tait de telle sorte que j'arrive à un autre rocher bien plus gros que les autres sur lesquels je marchais et j'y sens le silence.

Então, eu estou na Ilhabela que é uma ilha no Brasil onde eu moro atualmente e eu estou numa cachoeira sozinha, muito por conta do isolamento na pandemia, não estou com outras pessoas, não estou com ninguém nesse espaço. O tempo está quente. Tem sol. Eu entro na água, sou praticamente convocada pela água para entrar e me sinto muito bem recebida, assim quase como quando você vá na casa de alguém assim, que alguém te chama para jantar ou você vá reencontrar uma velha amiga. Então é assim que eu entro nessa cachoeira e fico ali um tempo nesse primer momento na água. A água está bem tranquila e normalmente quando eu vou visitar essa cachoeira que é uma cachoeira que se chama Paquetá, eu fico ali nesse primeiro lugar que é um platô bem grande, não é muito fundo, tem uma queda onde você pode receber água de cima e limpar todas as energias. Eu me sinto nesse primeiro lugar que não é da queda, mas é de uma primeira recepção e sou envolvida pelo carinho, como se fosse, é isso um abraço, não é? Eu acostumo a sentir a cachoeira como uma curandeira, uma curadora e bom...o que acontece é que eu me permito como eu estou sozinha ali, eu me permito ser levada por esse ambiente e em vez de continuar ali naquele lugar, eu vou para um outro lugar que eu não tinha ido antes.

Então, tem muitas pedras que vão encaminhando para um destino desconhecido que nunca tinha ido e nem sabia que tinha uma profundidade ali e é muito interessante porque conforme eu vou caminhando sobre essas pedras eu me recordo de uma expressão brasileira em português que diz: “caminhar é conhecer o caminho das pedras” e a gente fala isso assim de um jeito assim médio trivial e ali eu realmente consigo perceber o que é conhecer o caminho das pedras porque elas de fato foram me levando.

Je me rends compte à quel point je suis petite dans cette dimension et à quel point je peux peut-être y trouver de nombreuses autres vies, peut-être des ancêtres, peut-être d'autres plans qui m'accompagnent et cette danse se produit, c'est au sommet de ce gros rocher et je reste là aussi avec cette dimension du temps qui, à la fin, se perd un peu et puis je n'ai pas envie de revenir en arrière, alors je continue, étant convoquée par les pierres, continuant à connaître ce chemin de pierres et je suis ce chemin jusqu'à ce que j’arrive à une certaine fin que je ne décide pas, mais la fin arrive parce qu'il n'y a pas moyen de continuer à marcher et puis quand je reviens c'est pratiquement comme si, je ne sais pas, j'habitais là-bas. Je ne sais pas comment l'expliquer, mais je reviens toujours, alors, le long de ce chemin rocailleux, et peut-être ces pierres qui sont maintenant reconnues et je retourne là où j'étais, je passe ce plateau, cette grosse pierre où cette danse a eu lieu et cette chanson a eu lieu, et c'est comme si j'avais, finalement, déjà une sorte de familiarité avec cet inconnu et quand j'arrive à nouveau à cette eau, cette première eau dont j'ai parlé au début, qui est une eau plus calme, plus paisible, hahaha, à la fin maintenant elle atteint d'autres rochers ici.

Quand j'arrive à cette autre eau, le soleil se couche en fait et je commence à percevoir une autre dimension du soleil aussi, si chaude que... c'est-à-dire que j'ai peut-être traversé tous les éléments, je ne sais pas. Maintenant j'y pense, que j'ai commencé avec l'élément de l'eau et ensuite ça me connectait plus avec l'élément de la terre et ensuite avec le soleil qui peut être le feu et le vent là peut-être à travers la communication qui s’enroulait avec moi et j'arrive dans cette fin, qui est une suite, mais j'aime cette expérience de ne pas savoir très bien où j'allais et d'être appelée par ce chemin de pierres et cette expression triviale qui dit « tirer le mal par la racine », qui est une autre expression brésilienne, comme quand vous ne voulez pas une très bonne chose et que vous devez la couper à la racine. Nous disons plusieurs fois, « tirez le mal par la racine », seulement quand vous avez un jardin ou vous avez une cour arrière ou un potager, vous avez vraiment besoin d'arracher le mal par les racines quand vous avez besoin d'enlever les mauvaises herbes, par exemple, vous savez ? Donc ce sont des expressions dont on parle trivialement, mais quand tu ne vis pas à travers le corps tu ne réalises pas d'où ça vient, et puis quand tu vis « le chemin des pierres » ou « arrachez le mal à la racine » dans le corps tu comprends corporellement pourquoi vous parlez ici, cela prend un autre sens incorporé, bref, incarné.

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C'est ainsi que j'entre dans cette cascade et que j'y reste un moment lors de ce premier moment dans l'eau. L'eau est très calme et normalement quand je vais visiter cette cascade qui est une cascade qui s'appelle Paquetá, je reste là dans ce premier lieu qui est un très grand plateau, ce n'est pas très profond, il y a une chute où l'on peut recevoir de l'eau d'en haut et nettoyer toutes les énergies. Je ressens en premier lieu ce qui ne vient pas de la chute, mais d'un premier accueil et je suis entourée d'affection, comme si c'était le cas, c'est un câlin (...)

É um improviso nesse desconhecido porque eu não sei onde eu vou e elas vão me chamando como se elas pudessem dizer: “toca aqui..., pisa ali” e caminha por esse lugar, embora não vai saber onde vai e eu perco a noção do tempo completamente. Eu sinceramente não sei por quanto tempo levou, talvez possa ter levado quinze minutos ou duas horas, mas é uma sensação de ser levada pelas pedras e também por esse destino, não é?

Como algo que me puxa e um certo momento toda aquela agua anterior da queda quando eu estava num primeiro platô, no primeiro momento, vai silenciando porque eu vou chegando em num outro ambiente que é mais da mata então eu saio de um primeiro lugar de água doce e chego nesse lugar que é mais arborizado, muito verde...e muitos cheiros e quando entro nessa água que é uma outra água, vamos dizer, é uma coisa parecida com um banho de ervas.

Porque, em fim, com tudo o verde, com todas essas plantas essa água tem uma outra qualidade e vai silenciando de tal maneira que eu chego numa outra pedra muito maior do que as outras que eu estava caminhando e seu sinto de silenciar ali. Eu fico um bom tempo ali em silêncio ouvindo o som do silêncio, de verdade, assim um silêncio muito primordial e eu canto, algo totalmente imprevisível assim para mim porque eu não canto, mas é um som praticamente que vem das pedras ou que vem desse fora, desse silêncio.

Em fim, é um som muito novo para mim, talvez para minha qualidade vocal e ali eu começo a cantar e é muito forte e ha uma dança que acontece e então esse canto se torna movimento, sei lá, como uma coreografia a partir da voz e aí é uma conexão muito bonita e silenciosa e também como se eu pudesse perceber o quanto que eu estou acompanhada, mesmo que estando extremamente, radicalmente sozinha na perspectiva humana.

Eu percebo como eu sou pequena naquela dimensão e como talvez possa estar reencontrando muitas outras vidas ali, talvez ancestrais, talvez de outros planos que estão me acompanhando e essa dança acontece, é encima dessa grande pedra e eu fico ali também com essa dimensão do tempo que, em fim, se perde um pouco e aí eu não quero voltar, então continuo indo, sendo chamada pelas pedras, continuando a conhecer esse caminho das pedras e eu sigo esse caminho até que eu chego em num certo fim que não sou eu que determino, mas o fim se da porque não tem como continuar caminhando e ai quando eu volto é praticamente como se, sei lá, eu morasse lá, não sei explicar isso, mas eu continuo voltando, então, por esse caminho das pedras, e talvez essas pedras que agora já reconhecidas e vou retornando para onde eu estava, passo por aquele platô, por aquela grande pedra onde aconteceu essa dança e aconteceu esse canto, e é como se eu, em fim, já tivesse algum tipo de familiaridade com aquele desconhecido e quando chego de novo nessa água, nessa primeira água que eu falei no início, que é uma água mais calma, mais tranquila, hahaha, em fim agora está chegando em outras pedras aqui.

Quando chego nessa outra água também o sol vai se pondo na verdade e eu vou percebendo uma outra dimensão também do sol, assim de calor que..., o seja, talvez eu tivesse passado por todos os elementos, não sei. Agora estou pensando nisso, que eu comecei por um elemento mais da água e depois foi me conectando mais com o elemento da terra e aí depois com o sol que pode ser o fogo e o vento ali talvez através da comunicação que estava ventando comigo e chego nesse fim que é uma continuação, mas gosto dessa experiência de não saber muito bem para onde eu estava indo e de ser chamada por aquilo que é esse caminho das pedras e que é uma expressão trivial que nem “puxar o mal pela raiz” que é uma outra expressão brasileira, como quando você não quer uma coisa muito boa e você tem que cortar ela lá na raiz e a gente fala isso muitas vezes, “puxar o mal pela raiz”, só que quando você de fato tem um jardim ou tem um quintal ou tem uma horta, você de fato precisa puxar o mal pela raiz quando você precisa tirar o mato por exemplo, entendeu? Então são expressões que a gente fala trivialmente, mas que quando você não vive pelo corpo você não percebe de onde ela vem, e aí quando você vive o caminho das pedras ou “puxar o mal pela raiz” no corpo você entende corporalmente porque é que você fala aqui, ela ganha um outro sentido incorporado, em fim, corporificado.

dessin du chemin |

C'est une improvisation dans cet inconnu parce que je ne sais pas où je vais et ils n'arrêtent pas de m'appeler comme s'ils pouvaient dire : "touche ici..., marche là" et traverse cet endroit, même si tu ne le sauras pas où tu vas et je perds complètement la notion du temps. Honnêtement, je ne sais pas combien de temps ça a pris, peut-être que ça aurait pu prendre quinze minutes ou deux heures, mais c'est un sentiment d'être emporté par les pierres ...

C'est un son très nouveau pour moi, peut-être pour ma qualité vocale et là je commence à chanter et c'est très fort et il y a une danse qui arrive et puis ce chant devient mouvement, je ne sais pas, comme une chorégraphie basée sur la voix et il y a une connexion très belle et silencieuse et aussi comme si je pouvais percevoir à quel point je suis accompagnée, même si je suis extrêmement, radicalement seule du point de vue humain.

Je me rends compte à quel point je suis petite dans cette dimension et à quel point je peux peut-être y trouver de nombreuses autres vies, peut-être des ancêtres, peut-être d'autres plans qui m'accompagnent et cette danse se produit, c'est au sommet de ce gros rocher et je reste là aussi avec cette dimension du temps (...)

(...) j'aime cette expérience de ne pas savoir très bien où j'allais et d'être appelée par ce qu'est ce « chemin de pierres » et qui est une expression triviale comme « tirer le mal par la racine » qui est une autre expression brésilienne, comme quand vous ne voulez pas une très bonne chose et que vous devez la couper à la racine. Nous disons plusieurs fois, « tirez le mal par la racine », seulement quand vous avez un jardin ou un potager, vous avez vraiment besoin d'arracher la maladie par les racines quand vous avez besoin d'enlever les mauvaises herbes, (...) Donc ce sont des expressions dont on parle trivialement, mais quand tu ne vis pas à travers le corps tu ne réalises pas d'où ça vient, et puis quand tu vis le chemin des pierres ou que tu arraches le mal à la racine dans le corps tu comprends corporellement pourquoi tu en parles ici, cela prend un autre sens incorporé, bref, incarné.

esquisse promenade |
version portugaise intégrale |
Titre Promenade |
Promenades |
version française etiquette |
Tables
  • 1.3.3 Articles

    [articles littérature orale]
  • 1.3 Etudes universitaires :::LITTERATURES ORALES

    [Etudes en arts de la parole]
  • 3.1 Sources d’inspirations parallèles :::FICTION:::

    [Oeuvres de fiction]
  • 13.09.2022

    [Promenade Audrey Gaisan Doncel]
  • 03.01.2023

    [Promenade avec Jean Gobinet]
  • 25.12.2022

    [Promenade Barbara Manzetti]
  • 09.11.2022

    [Promenade avec Claudia Flammin]
  • 16.12.2022

    [Promenade avec Célia Abitabile]
  • 14.10.2021

    [Promenade - Christine Quoiraud]
  • Promenade avec Patricia Bergantin

    [Promenade avec Pat Bergantin]
  • Études en musique

    [Études en musique]
  • 27.12.2021

    [Promenade avec Pascale Gille]
  • 12.10.2021

    [Promenade avec Inés Pérez]
  • 13 11 2022

    [Promenade avec Sherwood Chen]
  • 05.01.2022

    [Promenade avec Cécile Raymond]
  • 12.10.2021

    [Promenade avec Sandra Wieser]
  • 15.10.2021

    [Promenade avec Bettina Neuhaus]
  • 17.12.2020

    [Promenade avec Aude Fondard]
  • 02.02.2020

    [Promenade avec M. Papazoglou]
  • 19.01.2021

    [Promenade avec Paolo Cingolani]
  • 3.2 Sources d'inspirations parrallèles ::: NON-FICTION :::

    [Ressources indirectes]
  • 1.0 Etudes universitaires ::: GENERAL :::

    [Etudes générales]
  • 07.12.2019

    [Promenade Matthieu Gaudeau]
  • 15.09.2019

    [Promenade avec Laetitia Reboul]
  • 28.11.2019

    [Promenade avec João Fiadeiro]
  • 28.01.2020

    [Promenade avec Shahar Dor]
  • 2.2 Paroles d'improvisateurs ::: DANSE :::

    [Ecrits de danseurs]
  • 31.12.2020

    [Promenade avec Ed Williams]
  • 15.12.2020

    [Promenade de Jérémie Gardelli]
  • 15.12.2020

    [Promenade avec K Goldstein]
  • 08.12.2020

    [Promenade avec Kristof Leblay]
  • Table 12 — Alice Godfroy et Carla Bottiglieri

    [Vertiges]
  • Workshop Composition en Temps Réel

    [CTR avec João Fiadeiro]
  • 22.02.2020

    [Promenade avec Lê Quan Ninh]
  • 15.09.2019

    [Promenade avec Romain Bigé]
  • 16.09.2019

    [Promenade avec Gabriel Staëlen]
  • Visions

    [Visions]
  • 18.09.2019

    [Promenade avec Diane Sorin]
  • Table 13 — Jurij Konjar et Aline Derderian

    [Jeudi 14h à Nice]
  • Table 09 - Daniela Tenhamm et Franck Beaubois

    [Des trous dans le langage]
  • Table 08 — Céline Larrere et Perrine Maurin

    [Regard, spectateur]
  • Table 07 — Federica Fratagnoli, Gabriel Staëlen et Johanna Thorell

    [Entre impression et apparition]
  • Table 02 — Jean Clam, Johanna Thorell et Mathieu Bouvier

    [Jambonesque]
  • Table 04 — Mathilde Monfreux et Patricia Ferrara

    [Ecarts petits et grands]
  • Table 01 — Patricia Kuypers et Goulven Leroy

    [L'insaisie]
  • Table 10 - Emmanuelle Pépin, Caroline Boillet et Michaël Jasmin

    [C'est simple ! Giratoires]
  • Table 11 — Nina Martin et Scott Smith

    [Sex and ascese]
  • Table 06 — Marjorie Burger-Chassignet et Anne Boissière

    [Ssssssssssss...]
  • Table 05 — Daniela Schwartz et Galaad Le Goaster

    [Archaïsmes et glissements]
  • Table 03 — Laetitia Reboul et Diane Sorin

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  • Les corps en vie, Carnet de voyage au pays de la Danse Contact Improvisation
    [DE JONG L.,GUILLEUX S.]
  • Conversation avec Lisa Nelson, On the edge/Créateurs de l’imprévu
    [BENOIT-NADER Agnès]
  • Una mirada desde la alcantarilla: uma versão vocal do poema homônimo de Alejandra Pizarnik 
    [Inés TERRA BRANDES]
  • La voz del cuerpo. Acústicas del movimiento
    [Mónica VALENCIANO]
  • Interpréter en temps réel dans l’atelier de Mark Tompkins
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  • Présentation Audrey Gaisan - M. Crampon
    [Présentation Audrey Gaisan]
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    [question du musicien]
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  • Fragment
    [FragBM]
  • Fragment entretien
    [Frag.BM]
  • Dessin carte Barbara Manzetti
    [Dessin BM]
  • Dessin Parcours promenade Barbara Manzetti
    [BM Dessin]
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    [BM promenade]
  • présentation
    [contexte]
  • Promenade avec Célia
    [Etiquette]
  • Deux temps, deux mondes
    [extrait 5]
  • Prendre forme
    [extrait 4]
  • L'océan
    [extrait 3]
  • Les fils
    [extrait 2]
  • à propos du corps, de l'envie, de l'espace
    [extrait 1]
  • Forêt reflétée
    [Forêt]
  • Tracé de la promenade avec Célia Abitabile
    [Dessin lignes d'erre]
  • version française etiquette
    [etiquette française]
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